Ils ont courriellé :

 Alain S. :

Chez nous aussi en afrique, on est attentif aux doits de l’homme.

 Anne-Marie G. :

Elles s'enlacent... Elles caressent... Elles s'en lassent... Elles jouent... du piano, de la guitare, des seaux, pleins de sable... Elles virevoltent... Elles parlent, pour ceux qui n'ont pas, ou plus, leur voix... Elles apaisent... Elles réchauffent... Elles tiennent... Elles trahissent, parfois, avec puissance et doigté, ce que ni le regard, ni la bouche, ni le sourire, ne pouvaient exprimer... Elles soignent, pour certaines... Elles cachent, pour d'autres,des secrets, qu'elles aimeraient bien garder, pour elles... Elles ont leur creux, si vous saviez... Elles signent... Elles coiffent, et décoiffent...Elles menacent !... oh ! attention !... Elles fessent, et on n'aime pas ça du tout !... Elles chatouillent... et font rigoler... arrêtez ! arrêtez !...Elles claquent, comme une volée, et font pleurer...trop tard ! elles ont déraillé...Mais sans le savoir, elles prient, chaque fois, qu'elles se joignent... Elles ont tous leurs doigts, et parfois pas... car c'est la vie...c'est comme ça... Elles savent aussi très bien compter... Elles applaudissent ! quand ça leur plaît !... Elles ont leur petit doigt... Oh... mon Dieu ! je ne m'arrêterais pas d'en parler ! tant elles sont Humaines !.... Si les mains et leurs doigts, n'existaient pas, il faudrait les inventer, avec doigté, pour Aimer...

 Michel C. :

Tiens, la main de ma sœur !